Un sábado noche puede dar para mucho...miércoles, 26 de marzo de 2008
martes, 25 de marzo de 2008
La niebla se disipó...
Una disyuntiva, miles de opciones, y un sin fin de caminos que poder elegir.
Indecisión, niebla, tus ojos no son capaces de ver con nitidez, y tu cerebro se torna dudoso con toda la información que es capaz de captar.
Da comienzo un bucle que parece no tener fin, hasta que llega el fin.
En un instante todo cambia de color, el negro se va tornando gris, el gris, azul, el azul, verde, y así hasta que se tiñe de ese color que tanto te gusta.
Vuelves a sonreir, tu vida vuelve a tener sentido, vuelves a disfrutar de todo lo que te rodea, de mirar sin mirarte.
Porque alguien sencillo y corriente puede aportarte mucho más que un genio aplaudido por la multitud.
Encuentra a esos genios desconocidos y escúchalos atentamente, pero después serás tú y solo tú, quien decida si sus enseñanzas te son válidas.
Da comienzo un bucle que parece no tener fin, hasta que llega el fin.
En un instante todo cambia de color, el negro se va tornando gris, el gris, azul, el azul, verde, y así hasta que se tiñe de ese color que tanto te gusta.
Encuentra a esos genios desconocidos y escúchalos atentamente, pero después serás tú y solo tú, quien decida si sus enseñanzas te son válidas.
lunes, 24 de marzo de 2008
jueves, 13 de marzo de 2008
Gira, gira...
Girando me perdí en un mar de girasoles,
que ingenua de mi,
los girasoles no saben nadar.
Girando me perdí en un campo de espirales,
que ingenua de mi,
los espirales no se plantan.
Girando me perdí en un cielo de ratones
que ingenua de mi,
los ratones no saben volar.
Girando me perdí,
girando me encontré,
girando me soñé,
girando me rendí,
y girando seguiré,
porque girando sigo en pie.
Después de una larga temporada sin recoger la cosecha de mi huerto particular, aquí tenemos algo que acaba de germinar...
miércoles, 5 de marzo de 2008
Jacques Brel
Le Diable (ça va)
Jacques Brel (1929-1978)
Un jour le Diable vint sur terre,
un jour le Diable vint sur terre pour
surveiller ses intérêts, il a tout vu le
Diable, il a tout entendu, et après avoir
tout vu, après avoir tout entendu, il est
retourné chez lui, là-bas.
Et là-bas, on avait fait un grand banquet,
à la fin du banquet, il s'est levé le Diable
et il a prononcé un discours:
Ça va.
Il y a toujours un peu partout
Des feux illuminant la terre
Ça va
Les hommes s'amusent comme des fous
Aux dangereux jeux de la guerre
Ça va
Les trains déraillent avec fracas
Parce que des gars pleins d'idéal
Mettent des bombes sur les voies
Ça fait des morts originales
Ça fait des morts sans confession
Des confessions sans rémission
Ça va
Rien ne se vend mais tout s'achète
L'honneur et même la sainteté
Ça va
Les Etats se muent en cachette
En anonymes sociétés
Ça va
Les grands s'arrachent les dollars
Venus du pays des enfants
L'Europe répète l'Avare
Dans un décor de mil neuf cent
Ça fait des morts d'inanition
Et l'inanition des nations
Ça va
Les hommes ils en ont tant vu
Que leurs yeux sont devenus gris
Ça va
Et l'on ne chante même plus
Dans toutes les rues de Paris
Ça va
On traite les braves de fous
Et les poètes de nigauds
Mais dans les journaux de partout
Tous les salauds ont leur photo
Ça fait mal aux honnêtes gens
Et rire les malhonnètes gens.
Ça va ça va ça va ça va.
Jacques Brel (1929-1978)
Un jour le Diable vint sur terre,
un jour le Diable vint sur terre pour
surveiller ses intérêts, il a tout vu le
Diable, il a tout entendu, et après avoir
tout vu, après avoir tout entendu, il est
retourné chez lui, là-bas.
Et là-bas, on avait fait un grand banquet,
à la fin du banquet, il s'est levé le Diable
et il a prononcé un discours:
Ça va.
Il y a toujours un peu partout
Des feux illuminant la terre
Ça va
Les hommes s'amusent comme des fous
Aux dangereux jeux de la guerre
Ça va
Les trains déraillent avec fracas
Parce que des gars pleins d'idéal
Mettent des bombes sur les voies
Ça fait des morts originales
Ça fait des morts sans confession
Des confessions sans rémission
Ça va
Rien ne se vend mais tout s'achète
L'honneur et même la sainteté
Ça va
Les Etats se muent en cachette
En anonymes sociétés
Ça va
Les grands s'arrachent les dollars
Venus du pays des enfants
L'Europe répète l'Avare
Dans un décor de mil neuf cent
Ça fait des morts d'inanition
Et l'inanition des nations
Ça va
Les hommes ils en ont tant vu
Que leurs yeux sont devenus gris
Ça va
Et l'on ne chante même plus
Dans toutes les rues de Paris
Ça va
On traite les braves de fous
Et les poètes de nigauds
Mais dans les journaux de partout
Tous les salauds ont leur photo
Ça fait mal aux honnêtes gens
Et rire les malhonnètes gens.
Ça va ça va ça va ça va.
lunes, 3 de marzo de 2008
Dulces sueños...
valeriana.
(Del lat. valēre, ser saludable, por alusión a las propiedades medicinales de la planta).
1. f. Planta herbácea, vivaz, de la familia de las Valerianáceas, con tallo recto, erguido, hueco, algo velloso y como de un metro de altura, hojas partidas en hojuelas puntiagudas y dentadas, flores en corimbos terminales, blancas o rojizas, fruto seco con tres divisiones y una sola semilla, y rizoma fragante, con muchas raicillas en círculos nudosos, que se usa en medicina como antiespasmódico.
pesadilla.
1. f. Ensueño angustioso y tenaz.
2. f. Opresión del corazón y dificultad de respirar durante el sueño.
3. f. Preocupación grave y continua que siente alguien a causa de alguna adversidad.
4. f. Persona o cosa enojosa o molesta.
sueño.
2. m. Acto de representarse en la fantasía de alguien, mientras duerme, sucesos o imágenes.
3. m. Estos mismos sucesos o imágenes que se representan.
4. m. Gana de dormir. Tengo sueño. Me estoy cayendo de sueño.
5. m. Cierto baile licencioso del siglo XVIII.
6. m. Cosa que carece de realidad o fundamento, y, en especial, proyecto, deseo, esperanza sin probabilidad de realizarse.
"Vuelvo a las andadas y me vomito gritando un sueño..."
De vuelta en Granada
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